Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Recherche

17 mars 2006 5 17 /03 /mars /2006 18:39
Pour faire le  lien avec le poème précédant qui parlent des yeux derrière les lunettes du soleil printannier que nous attendons, afin de pouvoir regarder sans être vu les jolies demoiselles, dames et messieurs, voici une peinture que je me suis amusée à faire....

C'est impressionnant, n'est-ce pas, tous ces yeux. Les yeux SONT impressionnants. On dit qu'ils sont le miroir de l'âme et c'est bien vrai. Ils expriment l'amour, voir l'adoration, la tendresse, la joie, le rire...mais aussi la colère, la dureté... J'en ai vus dans lesquels on pouvait lire la mort, l'horreur, l'absence, le vide. J'en ai vus qui étaient déjà éteint, ceux qui suppliaient pour de l'aide. Ceux qui viraient en une demi seconde de la normalité à la folie. Il y en a qui sont révolver comme dit la chanson - ils t'abattent en un clin d'oeil comme le regard que doit avoir une Geisha par exemple et j'y reviendrai.

Vous avez compris que je n'écris sur ce blog que ce qui m'inspire au moment même. Et today je vous parlerai un peu plus de moi-même. Le pourquoi et comment de la poésie, de l'écrit en général. La poésie est pour moi une façon  très concise et précise de dire les choses dans laquelle on peut utiliser des images  car les mots sont souvent trop pauvres et insuffisants ou carrément manquant. Parfois je me demande d'où ils me viennent d'ailleurs, ces mots et comment je trouve le rythme dans mes poèmes. En fait ce sont les mots qui m'entraînent et les images surgissent toutes seules pour décrire ce que je veux dire.


Je peux vous dire que c'est un vrai plaisir que d'écrire et c'est un excellent moyen pour mettre ses idées, sa vie au clair surtout si elle a été chamboulée comme la mienne. Tragédies, drames, voyages, abandons mais aussi bonheurs, amours; solitude extrême et surprise au coin d'une rue un beau jour. Espoirs et désespoirs profonds ainsi que deuils très noirs pourtant plein de lumière venant d'ailleurs. La poésie et la peinture furent les moyens pour "ranger" tout ça, pour le digérer lentement, pour en extraire le suc à garder précieusement, pour tout décanter, en ôter  l'horreur extrême, la souffrance, afin que tout ceci trouve sa place en moi et me permette enfin de poursuivre mon chemin non pas avec un fardeau immense sur le dos, mais en ayant déposé ce qui pèse trop et gardé ce qui est pécieux. J'ai fait le tri grâce à l'écrit - vous voyez ça rime sans que je le veuille!

La peinture est venue en premier mais j'ai toujours eu une activité artistique. Ce fut le moyen trouvé pour exprimer ce que je ne pouvais pas encore mettre en mots - pour dépeindre un coeur meurtri, profondément blessé, pour exprimer des sentiments ne serait-ce déjà que par le geste d'étaler les craies sur le papier. Un moment circulaire pour la tendresse par exemple et des gestes saccadés pour la colère. Vous verrez au fil de mon blog.... Et des coeurs et encore des coeurs... à venir mais exprimant toutes sortent de choses... vous verrez! J'en ai fait des cartes et des posters que je vends lors de mes lectures de poèmes car il est encore trop tôt pour faire une exposition - vente des originaux.

De mes 200 poèmes environ j'ai tiré trois recueils qui closent le passé pour moi et maintenant j'écris des poèmes plus légers, surtout d'amour car c'est une question qui m'intéresse, comme tout le monde dans le monde entier. vous savez bien!!

Pour aujourd'hui je vous laisse mais serais très heureuse de recevoir vos commentaires. Peut-être écrivez.-vous aussi! Alors faites-moi part  de ce que cela vous apporte, par exemple.
Merci d'avance!
Partager cet article
Repost0
17 mars 2006 5 17 /03 /mars /2006 18:11
Partager cet article
Repost0
16 mars 2006 4 16 /03 /mars /2006 22:44
 
Bonsoir mes visiteurs!

Un petit poème amusant parlant du MARIVAUDAGE printannier. Tout se réveille inclusiment nos appétits et petits instincts primordiaux:



"SHOPPING DE PRINTEMPS"

Les terrasses s'emplissent de têtes complices,
De midinettes aux requêtes pas toujours honnêtes
Qui vous montent à la tête tellement elles sont prêtes.

De dames aux yeux luisants de drames
En attente d'une heure de flammes.

De nanas cherchant riches papas
Ou de jeunes babas aux regards fiévreux de l'amour amoureux
De jeunes loups circulant en meutes de-ci de-là
Tâtant avant de s'attaquer aux appâts
De messieurs s'adonnant au lèche-vitrine
De ces visages s'offrant à leurs regards allumés d'envies sublimes

C'est le "shopping de printemps"
.............

Sur les troittoirs les pas s'allongent d'une langueur nonchalante
Les clins d'oeil se font piquants et questionnant.
Derrière les lunettes de soleil les yeux glissent de travers
Excités par cette fièvre retrouvée à la vue de ces rondeurs dénudées
Car la tiédeur..............
Assoupie durant les mois de répit ou transhumées sur les pistes de ski
Lorsque nous les dévalions emmitouflées jusqu'aux sourcils.

Que c'est amusant .........
Nouveauté cette année: Messieurs vous vous soignez
Et c'est heureux car vous êtes plus attrayants et entreprenants!
À nos regards curieux vous vous offrez sans façon
Et c'est à nous de choisir, de jauger si vous correspondez à notre désir.

Décidemment ce printemps me rappele l'ancien temps
lorsque jeune et pimpante je me promenais ignorante
De tout ce qui m'attendais



J'ai écris ce poème en 2002 et c'est effectivement à ce moment-là que la mode masculine à viré du jeans à toutes les sauces et du complet veston très uniformisé à plus de fantaisie et d'élégance tant dans les habits bureau que dans l'habillement de sport. Les cravates ont  pris  de nouvelles couleurs, les chemises sont nettement plus gaies et variées. C'est très heureux et vous êtes devenus bien plus beau Messieurs!! Vous prenez soin de vous-mêmes et j'apprécie quant à moi à vous regarder.

Alors, à quand ce printemps afin que nous puissions, nous les femmes profiter  et faire notre shopping comme vous!!
 
Partager cet article
Repost0
15 mars 2006 3 15 /03 /mars /2006 23:18
Partager cet article
Repost0
15 mars 2006 3 15 /03 /mars /2006 22:54
En regardant le film "Mémoire de Geisha" il m'est venu l'idée de vous envoyer un de mes poèmes intitulé "PLUIE" qui parle de la pluie qui tombe sur les galets de grandeurs différente, donc, éméttant un son différent, comme celui d'un torrent ou d'un petit ruisseau - les japonais sont si sophistiqués et ces sons sont en fait ceux de panoramas, d'endroits qui leur sont chers connus du peuple dans son entier - ou tandis que l'on prend le thé durant la cérémonie du thé dans une maison de thé japonaise. Je vous parlerai du film demain. Et vous pouvez visionner la reproduction de la peinture  en pastels sous forme de carte  intitulée "Parfum de Glycine". Elle représente justement cette plante que les japonais dépeignent parfois dans leurs estampes. Mais ce n'est que l'idée du parfum que je voulais suggérer, ce parfum entêtant qui monte vers... on ne sait où; vers les beautés sublimes de la splendeur d'une senteur exquise.

Et un poème que j'adore qui me rappelle justement l'état dans lequel me transporte le parfum des glycine que j'adore humer durant de longues minutes - ça me fait tout oublier et je "suis en moi", me retire en moi justement comme dans ce poème



PLUIE

Pluie...
Le long de sa fenêtre tu ruisselles
glissant en lamelles
Iridescentes, incandescentes, indécentes

Elle reste en douleur prostrée
En son corps cloîtrée
S'imbibant de lamentations intérieures
Ruisseau de pleurs
S'en allant vers l'océan des femmes qui pleurent

Mal, elle a mal
A son corps insensibilisé, crispé autour des drames
Enterrés sous les non-dits
Parce que la vie court en superficie
Charriant les destins
De multitude d'hommes et de femmes en déclin

Pluie...
Lave, décape
Ces couches de vernis qui font une vie
Transparais la roche nue luisante de splendeur
Ô terreur de l'âme seule dans sa vérité
Etonnée de se retrouver
Dans un corps si étranger

Pluie...
Ruisselant le long de sa fenêtre de solitude
Coule sur ses rondeurs dénudées
Endolori est ce corps
De tant d'années de silences répétés
........
Quelles muettes détresses

Voluptueuse douleur
Creuse, libère
Les sanglots accrochés à l'ilôt de son âme
Lave ce corps tourmenté
......

Eperdu, l'esprit s'évade, divague

Et ruisselle la pluie
Sur les galets du temple japonais
 
Partager cet article
Repost0
14 mars 2006 2 14 /03 /mars /2006 09:20
Comme promis, voici le poème que j'ai trouvé au coin de la rue lorsque j'y suis allée:


BONJOUR LA VIE! BONJOUR L'AMOUR!

Je tourne à vide
Et de ma cervelle rien ne se dévide.
Je sens ce creux que rien ne remplir ne peut.
Ce sont ces heures creuses
Dont je ne supporte plus la musique doucereuse.

Quand l'amertume menace de ses néfastes traces
D'alourdir mon navire chargé de plumes de rêves
Mais que je n'ai guère envie de cette trêve
Et quand à nouveau je puise dans la brume de mes misères
Alors je pars à la recherche de l'éphémère
Pour combler ces heures de chimères.

Je navigue à vue et tout en moi hiberne
Les drapeaux étant encore en berne.

Je sais que le radar existe
Mais le manuel à m'échapper persiste.
Je ne suis pas encore adaptée à l'heure d'été
Qui s'annonce pourtant .......
Et à laquelle je ne renonce.

J'attends les évènement dont j'ai fiché en terre les plantons
L'automne il y a sept ans
Dans une couveuse "apaise souffrance"
Car le supplice de Prométhée ne me fut pas épargné
Et me fut demandé de Job le sacrifice.
Même ai-je peiné avec la pierre de Sisyphe.

Mais aujourd'hui la lumière fut, nette et drue
Et c'est:

Bonjour la vie, Bonjour!
Bonjour l'amour toujours!
Je n'ai plus peur de vous rencontrer ce jour.


Prométhée, vous savez bien, est un personnage de la mythologie grècque ancienne. Il est surtout connu pour avoir dérobé le feu à Zeus, dieu suprême de l'Olympe, le panthéon des dieux grècque après les Titans, les anciens dieux qu'ils remplacèrent façon de parler.. Pour le punir Zeus le fil clouer au Caucase (des montagnes en Russie) où un vautour lui dévorait le foie constamment. Il fut finalement délivré par Héracles, un héros et descendant d'Hercule il paraît. .En fait Zeus a surtout profité de l'histoire du feu pour éliminer un rival puisque Promothée était un membre de la vieille génération des dieux!
 
Sisyphe, un autre personnage de la Grèce antique, était connu pour ses brigandages et fut puni et envoyé en enfer où il dû faire rouler une grosse pierre en haut d'une montagne d'où elle retombait sans cesse. Donc, un labeur incessant.

Oui, de gros, très gros chagrins me dévoraient le foie. Et oui, je devais rouler cette pierre composée de tous mes malheurs, incessamment jusqu'à la délivrance.

Les mythes grècques sont terribles mais pleins de sagesse, comme tous les mythes d'ailleurs, et représentent de façon dramatiques les souffrances, tribulations du genre humain à travers les Dieux que nous nous sommes imaginés. se sont  nos archétypes, types exemples de nous-mêmes dans les profondeurs de nos âmes, de nos émotions, de nos motivations. Enfin, ce n'est là que ma définition personnelle.

 


Partager cet article
Repost0
13 mars 2006 1 13 /03 /mars /2006 10:11

Alors je recommence au sujet de la fin de la pièce de théâtre Paul Claudel:


On entend un coup de fusil derrière la scène et l'on amène le corps mort du jeune mari sur scène - il s'est suicidé ne supportant pas l'idée d'avoir trahi sa jeune mariée et les valeurs qu'elle représente, ne sachant, en fait que faire ni assumer  la liberté que lui offre son amante et sa sexualité débridée, et finalement ne sachant que faire de lui-même. Il est pris dans son dilemme intérieure, insoluble pour lui et se prend la vie. Il aurait effectivement eu besoin d'un guide mais ne le supportait pas non plus, ne voulant, ne pouvant pas s'y soumettre.

Le jeune mariée décide de se débrouiller seule dans la vie avec les moyens à sa disposition, et ce n'était pas facile à cette époque là et ne l'est pas tellement même maintenant., plutôt que d'accepter une vie à l'encontre de ses valeurs, dans le confort et l'argent avec un homme qu'elle méprise. Elle choisi la pauvreté et le dur labeur mais la rectitude et le respect de soi. survivront-ils au labeur et à la pauvreté?

Le riche est plutôt dégoûté de lui-même et de sa soif de pouvoir et d'argent qui ne lui apport finalement rien de ce qu'il désire vraiment mais le laisse vide et insatisfait. Mais faire de l'argent c'est ce qu'il sair faire et il continuera jusqu'à l'épuisement dans cette voie, futile dorénavant, car ses yeux se sont ouverts et il est désillusionné. Son argent ne lui apportera pas le bonheur qu'il cherche car le bonheur ne s'achète pas!

L'actrice se noie dans le whisky pour ne pas penser à son vide intérieur, à son aridité. Elle se rend compte que le sexe pour le sexe ne lui apporte aucune plénitude, aucune satisfaction au delà de celle du moment. elle se rend compte que sa vie est comme un rôle dans une pièce de théâtre qu'elle jouerait et qu'il n'y a rien au delà de ça. alors, plutôt que de faire l'effort de réfléchir, elle noie tout dans l'alcool et devient d'autant plus lamentable et méprisable .

C'est une bien triste fin pour tous mais il y survivront tant bien que mal. Et chacun en est une victime, à sa façon., la façon qui fait le plus mal. La mort du jeune mari devraient les faire réfléchir mais réfléchit-on vraiment jamais ; prend-on le temps de le faire; c'est tellement plus facile de se noyer dans quelque chose, de faire des moulinets en l'air- celà demande tellement d'effort mais en vaut la peine à la fin! C'est le travail d'une vie
Partager cet article
Repost0
13 mars 2006 1 13 /03 /mars /2006 09:54
Et voici un poème tout noir que j'ai écris un "jour tout noir" sans espoir qui illustre bien la fin de la pièce de théâtre basée sur le livre de Paul Claudel dont je vous livrerai la fin peut-être ce soir (je l'ai déjà écrit mais tout s'est effacé avant que je ne vous l'imprime, alors c'est à refaire, plus tard. Et ensuite pour ne pas vous laisser sur une note si noire, un autre poème d'espoir s'ensuivra.

 
Pensée du jour:
 
L'espoir est toujours au coin de la rue mais il faut aller jusqu'è ce coin!




LE RIEN D'UNE VIE SANS RIEN


Tout est foutaise dans cette fournaise
Dans laquelle s'éteignent les braises
De mon âme de glaise

Et les larmes sont comme des glaives
Qui tranchent ma chair blême
Proche du supplice suprême.

Le coeur n'arrête ses pleurs
Que je recueille dans mon bréviaire
Comme les gouttes du suaire

J'ai échafaudé des théories
.............
Pour me sortir des orties
Mais je suis trop niaise
Et ne sais pas m'extraire de ces mains qui serrent

Vient à me manquer l'air
Et je me noie et ça me broie
ça m'aspire vers des profondeurs de délire.
Je vois à nouveau le gouffre
................
...............

Tout est rien, pour rien
C'est la fin.
J'ai cru et cru et encore cru
Mais la vie est tellement nue.

Les brindilles auxquelles je m'accroche
Lâchent et je relâche,
Tombe et m'effondre

Il n'y a que cette fin
Oû je reste sur une grande faim...
De rien... Car je ne sais rien, suis rien,
Dans le rien du grand Rien, plein de rien.
C'est la Fin même de cette faim.

Vieille, je suis vieille
Dans cette veille du recueil de deuil
Seule dans le linceul de ma vie en écueil.

Fracassé,  .....
............
Des pensées échafaudée hier et avant hier
Dans cette vie que je traîne derrière
Qui pourtant m'est chère
Car  ses hôtes sont ma chair
Et que je n'ai d'autre que cette chair.

Je ne puis m'extraire de cette spirale
Qui n'est pas celle du Graal
Mais bien celle de l'enfer sur terre.

Ce n'est pas la galère car là on peut faire
Et ça je sais faire.
Mais c'est le vide qui se dévide sans une ride;
Se dévide sans fin puisqu'il n'y plus rien que le Rien
De la fin d'un plein qui n'est plus rien
Que ce temps dorénavant mien.

LE RIEN D'UNE VIE SANS RIEN
Partager cet article
Repost0
11 mars 2006 6 11 /03 /mars /2006 11:01
Un  poème mignon parlant d'un petit coeur voletant de coeurs en coeurs, jamais s'arrêtant, pas bien méchant, léger pourtant!




COEUR VOLAGE



Coeur volage
Tu n'es pas sage
Tu te laisses prendre par les images
Aux beaux ramages
Sur ton passage

Tu n'es pas sûr pour le fruit mûr
De l'amour qui dure

Et comme la girouette
Tu "pirouettes" et picorettes
Un bec
De telle jolie minette
Et de telle autre belette fluette

Coeur volage, tu n'es pas sage.
Attention à ton pasage

Qui ne dure qu'un mirage!

Voici la peinture correspondant au poème


COEUR VOLAGE



Partager cet article
Repost0
11 mars 2006 6 11 /03 /mars /2006 10:12

Bonjour!

 

Encore une sortie hier soir: une pièce de théâtre, très très bien jouée, tirée d'un livre de l'auteur français Paul Claudel. Quatre personnes qui s'auto-détruisent mutuellement, du beau! Et bien sûr, soi-disant par amour!

Un jeune couple qui s'est marié par amour, pauvre dont le jeune mari ne sait rien faire, un jeune beau et sa femme qui se dévoue à lui, travaille pour lui (ménage s'entend ce qui veut dire pas de bonne comme une femme qui se respecte à cette époque), lui est soumise en tout car elle sa femme mais elle  veut "l'instruire" et veiller sur lui afin qu'il ne fasse pas de bêtises. Ce qui advient inévitablement - les bêtises...!
Il se laisse prendre par le désir, l'attirance séxuelle pour la femme d'un riche, actrice de surcroît, qui l'attire dans ses filets bien que se soit officiellement lui qui va la chercher (on sait bien que les femmes exercent un langage inconscient et que se sont elles qui prennent l'initiative, disent les experts, en faisant croire aux hommes le contraire (qu'en pensez-vous?). Bref, ils couchent!... Et lorsque le mari de cette actrice, homme très riche, vient jeter des dollars à la face du jeune loup pour qu'il lui "vende" sa jeune femme comme pâte fraîche et si naïvement attirante par rapport à son actrice rouée qui s'est lassée de lui, un avare en privé en plus qui la tient à la laisse à travers l'argent, le jeune loup va gentiment expliquer à sa jeune femme qu'il vaudrait mieux pour tous, inclusiment elle, qu'elle obtempère; car il ne sait rien faire et ne pourra pas l'entretenir ni les enfants à venir. Et qu'il faut penser à l'avenir, lui qui ne pense qu'au bout de son nez, pardon, autre organe également. 
La jeune femme en est scandalisée et lui explique qu'il est à elle puisqu'il est son mari et qu'il n'y a plus question de liberté puisque c'est elle qui a sa charge maintenant et qu'elle doit le guider dans la vie - c'est son rôle de femme - les femmes étant plus sages et pragmatiques que les hommes, comme on sait,  et l'homme ayant besoin de quelqu'un pour le gouverner une fois qu'il a lâcher sa mère (si ce sont les deux qui continuent à exercer cette fonction, il y a problème en la demeure évidemment!!).

Sur ce arrive l'actrice qui explique que l'amour c'est la liberté, le désir pur mais elle finira tout de même par vouloir le ficeller tout particulièrement puisqu'elle attend un enfant de lui. et elle demande à la jeune femme de le laisser partir vers sa liberté et son amour pour elle. Le jeune se décide officiellement pour le désir et le sexe pur avec celle qui "sait faire" comme on dit et c'est le drame...!!!

L'homme riche vient chercher la jeune femme qui ne veut pas et qui décide de se consacrer à la couture pour subvenir à ses besoins plutôt que d'accepter l'argent qu'elle sait que son mari a empoché tout en ne voulant pas le lui avouer (il a tout de même honte d'avoir "vendu" sa femme contre son bonheur (!) . Il ne veut pas non plus s'avouer qu'il "vend" sa jeune femme pour de l'argent et ... le sexe libre sans attaches mais ... l'homme étant ce qu'il est une fois que la femme ne le "tient plus", il se laisse librement attirer dans les filets de la belle actrice sans li ni foi, blasée par la vie et l'amour qui pourtant tient à sa jeune conquête et s'en vante devant la jeune mariée. Le sexe est apparemment plus fort que tout. Claudel, ce bon chrétien, pourtant finira par ne pas être d'accord, vous verrez...!

Bref, tout ça fini très mal comme vous pouvez imaginez mais comment? Je vous le dirai la prochaine fois à moins que quelqu'un veuille bien m'en donner la solution avant cela. Vos idées s.v.p.!
À la prochaine  et bon dimanche de "Lune"!
Partager cet article
Repost0

Articles RÉCents

Catégories